Nouvelles règles pour l’hébergement local

7 avril 2023
Nouvelles règles pour l’hébergement local

« Le diplôme confirme que les nouveaux enregistrements d’hébergements locaux sont suspendus jusqu’au 31 décembre 2030, « à l’exception des zones d’hébergement rural » et précisant qu’il ne s’applique pas aux îles.

La législation du programme « More Housing », publiée ce soir par le gouvernement sur le site officiel de LEX Consultation – alors que la moitié du temps prévu pour la consultation publique des nouvelles mesures, qui se termine le 10 mars – confirme que la délivrance de nouveaux enregistrements d’établissements d’hébergement locaux est suspendue à est au 31 décembre 2030, « à l’exception des zones d’hébergement rural, dans les conditions à définir par ordonnance des membres du Gouvernement chargés des domaines de l’économie, du logement et de la cohésion territoriale » et précisant que « cela ne s’applique pas aux régions autonomes ». 

 
Les registres locaux d’hébergement en vigueur à la date d’entrée en vigueur de cette loi expirent le 31 décembre 2030 et « sont renouvelables pour cinq ans, à compter du 31 décembre 2030 ».  rias » en termes d’hébergement local.

Ainsi, les conseils paroissiaux se joignent à l’Autorité de sécurité alimentaire et économique (ASAE) et aux conseils municipaux pour « déterminer l’interdiction temporaire de l’exploitation des établissements locaux d’hébergement, en tout ou en partie », à savoir « lorsque le non-respect des dispositions légales applicables compromet la sécurité des celle des usagers ou de la santé publique ».

Comme on le savait déjà, l’enregistrement de l’établissement d’hébergement local dure maintenant cinq ans et le renouvellement nécessite l’autorisation du conseil municipal territorialement compétent.

L’exception est « les établissements locaux d’hébergement qui constituent une garantie pour des contrats de prêt conclus à une date antérieure à l’entrée en vigueur de la présente loi, qui n’ont pas encore été entièrement liquidés au 31 décembre 2030, et dont la validité peut être prolongée jusqu’à la date de l’amortissement intégral ».

Les propriétaires de condominiums peuvent s’opposer à l’hébergement local dans certaines parties de l’immeuble

Les propriétaires de condominiums peuvent s’opposer à l’hébergement local dans des fractions autonomes de bâtiments ou dans des parties de bâtiments urbains, à moins que le titre constructif ne prévoie une telle utilisation, a précisé le gouvernement.

« Dans le cas où l’activité d’hébergement local est exercée dans une fraction autonome d’un bâtiment ou d’une partie d’un bâtiment urbain susceptible d’un usage autonome, l’assemblée des copropriétaires, par résolution de plus de la moitié du kilométrage de l’immeuble,  peut s’opposer à l’exercice de l’activité d’hébergement local dans ladite fraction », selon la législation du programme « Plus de logements », qui a été publiée vendredi soir.

Toutefois, cette règle ne s’applique pas si le titre constructif prévoit l’utilisation de la fraction respective à cette fin ou si l’assemblée des copropriétaires a expressément autorisé l’activité.

La décision d’annuler l’enregistrement, qui implique la « cessation immédiate » de l’activité et doit être portée à la connaissance du président du conseil municipal respectif par l’assemblée de la copropriété.

La législation publiée vendredi confirme également que le gouvernement instituera une « contribution extraordinaire sur l’hébergement local ».

Il reste sept jours pour terminer la consultation publique du programme More Housing, annoncée par le gouvernement le 16 février et mise en discussion le 20. Le programme Plus de logements prévoit, entre autres mesures, la fourniture d’un plus grand nombre de terrains pour la construction de logements, des incitatifs pour la construction privée ou des incitatifs fiscaux pour les propriétaires qui souhaitent mettre des logements sur le marché locatif.

Parmi les mesures visant à stimuler le marché locatif, ainsi que la rationalisation et les incitations à la construction, figurent la fin des visas « or », le remplacement par l’État du locataire et le paiement des loyers avec trois mois de défaut, l’obligation de proposer un taux fixe par les banques en crédit logement ou l’exonération des plus-values pour les familles Qui vendent des maisons pour rembourser leur prêt immobilier.

Les mesures du programme More Housing coûteront environ 900 millions d’euros, en excluant dans cette estimation les valeurs des coûts avec les loyers, avec les travaux à réaliser ou avec les achats, mais y compris la valeur des lignes de crédit, et utiliseront des fonds du budget de l’État, comme l’a déjà indiqué le ministre des Finances, Fernando Medina.

 

https://eco.sapo.pt/2023/03/04/suspensao-de-licencas-para-alojamento-local-exceciona-zonas-para-alojamento-rural/

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